16 février 2007
Etrillage de la Madone...
Dieu sait que je n'aime pas le personnage... mais bon, Nanard a le verbe sans détour et souvent pertinent, surtout quand il s'agit de flinguer... Dernière victime en date, la kamarade Ségolène étrillée en règle dans < a href="http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36-867149,0.html" target="_new">Le Monde d'il y a quelques jours.
Morceaux choisis:
Je vous rappelle que les socialistes ont choisi Ségolène Royal, exclusivement sur la foi des sondages. Ce n'était pas mon choix : tu ne passes pas de journaliste à La Montagne à directeur de la rédaction du Monde. Ça ne remet pas en cause son intelligence, sa bonne foi, mais il y a des responsabilités qui ne s'improvisent pas.Je confirme hélas la première phrase. Je ne me prononce pas sur la seconde: le premier constat m'avait déjà assez consterné...
Par ailleurs, réclamer un logement, un emploi, bref du bonheur pour tous, sans justifier comment les financer, cela ne pourra pas rassurer les " vraies gens ", comme elle le dit, qui sont concernés.C'est marrant, j'étais arrivé aux mêmes conclusions... Je passe sur l'appréciation pleine de saveur sur les compétences de l'équipe qui l'entoure... Déjà à l'époque de la campagne Jospin, j'avais eu l'impression d'un vaste bordel pas forcément très préparé. Pour la campagne 2007, depuis Boston je ne peux rien dire. Mais quand ceux qui ont connu 2002 et 2007 disent que c'est encore pire, je me dis que c'est mal barré. Allez, pour être équilibré, je vais en étriller un autre...
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B