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After a year in Boston, entering an happy Apocalypse
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15 février 2008

Budapest, the american blonde and the hungry turkey...

Ca me rappelle quelques souvenirs quand pendant la projection de Ghost Rider l'an dernier, mon voisin fort sympa m'avait demandé d'où je venais:
- "Where are you from ?"
- "Guess"
- "Heuh.... Europe ?"
- "Yes but which country ?"
- "Heuh... Amsterdam ?"

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Commentaires
F
Toute la séquence a l'air d'être *construite*. 1) On fait bien monter le suspense : certes c'est le propre du genre, mais avec l'énormité de la chose, ça marche encore mieux. 2) C'est drôle, avec la super blague, mais l'a-t-elle vraiment "inventée" ? 3) La fin est typique de toute bonne production hollywoodienne. De plus, les "acteurs" sont tellement complices : ils ont répété avant, non ?<br /> La réalité dépasse parfois la fiction...<br /> <br /> D'un autre côté, je me suis toujours un peu mélangé les pinceaux entre Sofia, Budapest, Bucarest et Hongrie, Bulgarie, Roumanie (remettez dans l'ordre). Avec l'éclatement de la Yougoslavie, c'est encore bien pire. Les Américains connaissent peut-être mieux leurs états que nous les capitales d'Europe (quoi que, il y a un amusant épisode de Friends là-dessus).
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