French Soap

La semaine dernière, Nicolas a dit que Felipe n'était pas très intelligent. Alors, comme elle s'était entrainée sur 500 millions d'Africains la semaine d'avant, la blanche Ségolène a demandé pardon aux Espagnols pour Nicolas. Les copains de Nicolas ont alors crié sur Ségo... Sauf... Bernard qui nous a expliqué que Nicolas voulait en fait dire le contraire de ce qu'on avait compris alors qu'en fait il voulait dire que si les copains de Lionel étaient plus intelligents, ce dernier qui est très intelligent n'aurait pas perdu les élections en 2002. Mais Ségo ne s'est pas excusé. Alors Jack nous a demandé pardon pour Ségo. No comment...

Comments

[P.]

J'avoue... je n'ai jamais lu Eschyle ni la Princesse de Clèves...

Par contre j'ai lu Les Contemplations in extenso et j'avais essayé de lire Cent Ans de Solitude en Espagnol mais je ne suis pas arrivé au bout de la VO... Il faut dire qu'il m'avait fallu 4 heures pour comprendre l'histoire de la grand mère pendant le siège de je sais plus quelle ville par Sir Francis Drake..

[Ced.]

Rassure-toi, Yoyo, je pense que ni P. ni moi ne disons que ceux qui ne connaissent pas Eschyle sont stupides, bien au contraire.

En revanche, j'ajoute que c'est un auteur tellement brillant qu'il est dommage de ne pas en lire quand on en connait le nom (au moins "Les Perses" et "l'Orestie"...) ;)

[Lionel]

bon alors c'est pas parce qu'on ne connait pas Esc-machin chose qu'on est complètement stupide...

Sinon il est clair que Nicolas I est un grand admirateur du leader italien, de là à ce qu'il ai les mêmes ambitions liberticides et démagogiques il n'y a qu'un pas qu'il est en train, subrepticement, de franchir, et cela sans aucune réaction de la populace, c'est dire...

Au fait vous avez remarqué que le printemps est là, avec un beau soleil à la clé?

[P.]

Je suis d'accord: c'est absolument pitoyable.... Berlusconien et ce n'est pas un compliment! Mais peut être que Nicolas ne sait pas qui est Eschyle ? (-:

[Ced.]

Et tu voudrais qu'on garde encore un semblant de confiance en ceux qui nous gouvernent ?

Je ne vois qu'un foutu matelot chargé, par erreur et à force de manœuvres iniques, de tenir la barre et qu'une mousse improvisée vigie qui crie au feu à tout va...
On est bien loin de l'image du "chef qui, tout à sa besogne, au gouvernail de la cité, tient la barre en main, sans laisser dormir ses paupières" (Eschyle, Les Sept contre Thèbes, 2-3).